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Les Thérapies Brèves… Késako?

Les Thérapies Brèves… Késako?

D’un point de vue logique, si l’on parle de « thérapie brèves », c’est forcément qu’il existe des « thérapies longues »!

Long… bref… tout est naturellement affaire de comparaison.

Dans certains cas, pour les thérapies longues, on peut aller jusqu’à dix années de suivi.
Pour les thérapies brèves, dans l’idéal – même si ça arrive rarement -, la problématique peut être réglée en une séance d’une heure.
Le plus souvent, il faudra tout de même à peu près 3 séances d’une heure, pour traiter une problématique. Et même dans certains cas où les protocoles sont plus encadrés – perte de poids ou arrêt du tabac, par exemple -, on pourra aller jusqu’à 6 séances… tout dépend du client et de sa problématique.

Pourquoi cette différence entre thérapies longues et brèves?

C’est une question de point de vue!

Des disciplines comme la psychanalyse s’attachent à découvrir les raisons pour lesquelles une personne ne va pas bien. Elle estime alors que le fait d’admettre la raison du « mal-être » fera cesser ce « mal-être ». On s’intéresse donc ici au « Pourquoi? »… et ça peut prendre du temps!

Les thérapies brèves: hypnose ericksonienne, PNL, EMDR…

Les thérapies brèves – comme l’hypnose ericksonienne, la PNL ou l’EMDR, issues de l’Ecole de Palo-Alto – s’intéressent plus au « Comment? »… c’est à dire comment une personne fait pour aller mal et comment elle peut faire pour aller bien…?
On fait ici le pari que le corps et l’esprit faisant partie d’un même système cybernétique, tout dans l’individu influence tout. Si le client se donne du choix, il n’est plus bloqué; s’il se donne de l’énergie, il est motivé; s’il se donne de la joie, il s’enthousiasme… et le plus petit changement bouleverse la construction mise en place auparavant et qui fait à présent souffrir!
Par conséquent, de la même façon qu’elle a appris à aller mal, une personne peut apprendre à aller bien!

Cette approche est efficace… mais pas toujours adaptée! Il y a des maladies mentales, des psychoses, pour lesquelles elle n’est d’aucune efficacité. On peut par exemple évoquer le fameux « pervers narcissique », les troubles bipolaires ou la dépression, lorsque l’état est trop avancé.

Quoiqu’il en soit, un suivi médical est fondamental, même en cas de recours aux thérapies brèves. Souvent d’ailleurs, c’est votre médecin qui pourra vous conseiller les thérapies brèves, si elles sont adaptées à votre cas.

 

 

Laurent Winter

Laurent Winter est Maître-Praticien en Hypnothérapie, Maître-Praticien en PNL formé par  l’Institut Psynapse. Son cursus a été prolongé par diverses spécialisations, comme le traitement des addictions (tabac, alcool…) et des phobies, le traitement du poids, la pause d’anneaux gastriques virtuels, l’hypnose symbolique et spirituelle. Membre de la National Guild of Hypnotists, il dispose d’une certification en psychopathologie clinique. Situé en Alsace, il vous reçoit dans son cabinet au Nord de Strasbourg

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